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Polémique Amoura-CNOM : Le SNPM soutien le journaliste Amoura
Rabat
Dans le bras de fer entre le radio-journaliste, Mohamed Amoura, et le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a annoncé sa solidarité avec le premier, ainsi qu’avec « tous les travailleurs et employés de la radio nationale SNRT », à la suite des réactions qui ont suivi la diffusion d’un nouvel épisode de l’émission « Ahdi Rassek » (traduisible par : « gare à toi »), où le métier de médecin n’est pas présenté sous d’heureux auspices.
La déclaration du syndicat indique que Mohamed Amoura « a évoqué les réglementations professionnelles et l’éthique de la profession de presse pour faire face à la réalité de la profession de médecin et à certains aspects des déséquilibres qu’elle rencontre, en particulier par l’organisation encadrée de médecins et par le ministre de la Santé ».
La même source a appelé le ministre de la Santé, Anas Doukkali, à retirer la correspondance qu’il a adressée à la Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA), et « à se retirer de cette affaire », soulignant que « la profession médicale, comme le reste des professions, comportant du bon comme du mauvais, est toujours la garantie et l’espoir des Marocains pour leurs soins, développement et protection ».
Le SNPM assure avoir « examiné » le contenu de l’émission radiophonique à l’origine de la polémique et confirme que son confrère, Mohamed Amoura, « avait déjà souligné le refus de généralisation », « confirmé l’existence de véritables professionnels respectant la noble profession médicale », et que l’épisode en question « touchait à un problème soulevé au sein de la société, à l’attention de l’opinion publique ».
Le syndicat exprime également « sa surprise devant ces réactions », ce représentent selon eux « une violation grave de la liberté de la presse et du droit d’édition », et plus encore, « une atteinte au droit des citoyens dans les médias, de fournir un service public conforme aux réglementations en vigueur, éthiques et professionnelles », en précisant que « dans l’histoire récente du Maroc, un ministre a officiellement demandé l’interdiction du travail dans les médias ».
Le Syndicat des journalistes déclare, en fin, qu’il « continuera d’insister sur le devoir de protéger les droits des individus, des groupes et de la société dans tous les projets médiatiques, tout en rejetant toute forme d’ingérence visant à restreindre la liberté de la presse et de l’édition ».
La déclaration du syndicat indique que Mohamed Amoura « a évoqué les réglementations professionnelles et l’éthique de la profession de presse pour faire face à la réalité de la profession de médecin et à certains aspects des déséquilibres qu’elle rencontre, en particulier par l’organisation encadrée de médecins et par le ministre de la Santé ».
La même source a appelé le ministre de la Santé, Anas Doukkali, à retirer la correspondance qu’il a adressée à la Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA), et « à se retirer de cette affaire », soulignant que « la profession médicale, comme le reste des professions, comportant du bon comme du mauvais, est toujours la garantie et l’espoir des Marocains pour leurs soins, développement et protection ».
Le SNPM assure avoir « examiné » le contenu de l’émission radiophonique à l’origine de la polémique et confirme que son confrère, Mohamed Amoura, « avait déjà souligné le refus de généralisation », « confirmé l’existence de véritables professionnels respectant la noble profession médicale », et que l’épisode en question « touchait à un problème soulevé au sein de la société, à l’attention de l’opinion publique ».
Le syndicat exprime également « sa surprise devant ces réactions », ce représentent selon eux « une violation grave de la liberté de la presse et du droit d’édition », et plus encore, « une atteinte au droit des citoyens dans les médias, de fournir un service public conforme aux réglementations en vigueur, éthiques et professionnelles », en précisant que « dans l’histoire récente du Maroc, un ministre a officiellement demandé l’interdiction du travail dans les médias ».
Le Syndicat des journalistes déclare, en fin, qu’il « continuera d’insister sur le devoir de protéger les droits des individus, des groupes et de la société dans tous les projets médiatiques, tout en rejetant toute forme d’ingérence visant à restreindre la liberté de la presse et de l’édition ».
تاريخ الخرق : Aug 30 2019
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